Raymond Vallières
Déjà un an
Cher papa, le 28 novembre 2013, tu nous as quittés si vite que l’on n’a pas eu le temps de te dire adieu. Tu nous manques tellement, ton départ fut triste et pénible mais nous nous consolons que tu aies rejoint celle qui te manque depuis plusieurs années, ton épouse maman.
Papa, protège-nous et veille sur chacun de nous. Nous pensons beaucoup à toi.
Tes 5 filles, Denise, Jocelyne, Colette, Sylvie et Nathalie