La famille de Gilles Francoeur tient à vous aviser du décès de leur cher père le 7 septembre 2013 au CHRDL de Joliette, à l’âge de 86 ans.
Gilles Francoeur était le fils de feu Marie Gosselin et de feu Napoléon Francoeur. Plusieurs l’ont connu comme dévoué et digne Serviteur au sein de la Mission de l’Esprit-Saint durant plus de 57 ans. Ingénieur de talent, il a mené une brillante carrière de plus de 52 ans dans l’industrie des pâtes et papiers, notamment à l’usine des Papiers Scott de Crabtree (maintenant Produits Kruger). Il en détient d’ailleurs le record de longévité en terme d’années de service. Le samedi 14 septembre 2013, de 13h00 à 16h00, la famille accueillera les témoignages de sympathie de toutes personnes l’ayant côtoyé et apprécié. Lieu : Salle de réunion de la Mission de l’Esprit-Saint, 120-A Delangis St-Paul, (Québec) J0K 3E0. Il laisse dans le deuil son épouse bien-aimée et bras-droit de toujours, Lise David, avec qui il aura goûté près de 64 années de bonheur et de complicité. Ses enfants : Christiane (feu Philippe Dubois), Richer (Colombe Fortin), Gracielle (Denis Baillargeon), Eugène (Eugénie Savoie), La Flèche (Sagette Bérubé), Noël, Eugénie (Paul Morin), Emmanuel (Guylaine Guilbault), Eugéno, Richère (Gary Baribeau), Fléchelle (Yvon Lauzière), Raphaël et Théogène (Marie-Ève Cloutier).
À cette récolte florissante, ajoutons 75 petits-enfants, 103 arrière-petits-enfants et 3 arrière-arrière-petits-enfants. Il laisse également dans le deuil des centaines de personnes qu’il considérait comme ses fils et filles spirituels. Homme de projet et d’opinion, visionnaire déterminé, énergique et attachant, il laissera le souvenir d’un homme d’une grande humanité, qui a partagé avec charisme et simplicité ses convictions et son amour de la vie. Homme de parole dont les sages propos resteront longtemps gravés dans la mémoire de plusieurs. Homme de famille et père admirable, il est l’inspiration de plusieurs générations pour la réussite par le travail, le respect des gens et la grande probité. Vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don pour la continuité de ses œuvres, notamment l’école de musique du Pavillon Gustave-Robitaille qui porte le nom de son guide et professeur et dont M. Francoeur était le support et l’inspiration.