
André Morin
Le 12 novembre 2019 tu fermais doucement les yeux...
Malgré notre déchirement, notre douleur s’est alors faite discrète, comme tu le souhaitais.
Seule la pensée de la fin de tes souffrances nous a aidés à surmonter ce vide laissé par ton départ. Pourtant, tu nous manques encore tellement.
Que de fois, nous aimerions te faire part de nos joies, de nos projets…mais malgré tout, nous sommes persuadés que tu jettes toujours un coup d’oeil !
Continue d’être notre ange gardien.
Chaque jour nous pensons à toi et t’aimons de tout notre coeur pour toujours.
Ta famille