
Roger MERCIER
(10 décembre 2003)
Cher Roger,
Sur les ailes du temps passé s'envole la tristesse. Le malheur de t'avoir perdu n'effacera jamais le bonheur de t'avoir connu. J'ai mis un jour pour te connaître, je mettrai un siècle pour t'oublier. Veille sur nous qui t'aimons.
Tendres souvenirs,
Monique, tes enfants et tes petits-enfants