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Pauline Côté

Pauline Côté

Lieu de naissance : La Tuque, Québec, Canada
Date de naissance : 19 janvier 2020

Lieu de décès : Trois-Rivières, Québec, Canada
Date de décès : 21 mai 2020

Décès de Pauline Côté

Nous aimerions d’abord chaleureusement remercier la famille, les amis, les parents et ex-parents de la garderie ainsi qu’une bonne partie de la population de La Tuque pour ce grand élan de solidarité et de support dont ils ont fait preuve depuis le départ de notre chère Pauline.

Elle nous a quitté de façon précipitée jeudi le 21 mai, emportée par un cancer virulent. Bien que nous soyons attristé par son départ, nous aimerions vous parlé un peu de sa vie. Ses origines irlandaises ont été l’un des éléments qui ont façonnés sa vie, elle qui avait été éduqué en anglais à La Tuque dans les années 50.

En 1976, elle est nommé la femme la plus en forme de La Tuque alors qu’elle et une amie commencent à donner des cours de danse aérobique bien avant la mode des gyms, entraîneurs et régimes minceur. Elle donnera ses cours jusqu’au milieu dans années 90 après quoi elle se mettra à suivre des cours de Tai bo!

Avec son époux de l’époque, elle décide, au début des années 70, d’adopter une jeune haïtienne. L’idée ne plu pas à tout le monde dans le Québec rural des ces années mais mes parents décidèrent d’aller de l’avant malgré tout (ma sœur fut effectivement la première personne de « couleur » dans la ville).

Elle retourne sur le marché du travail (tout en continuant de donner ses cours de danse aérobique) au début des années 80.

Ne se contentant pas d’avoir élevé 4 enfants (dont deux qui en valaient au moins 10 chaque), au début de la cinquantaine, elle ouvre une garderie en milieu familiale et s’occupe de 6 enfants 5 jours par semaine. Alors qu’elle approche de ses 70 ans, elle a envie de prendre un peu de temps pour elle et propose aux parents de sa garderie de ne travailler que 4 jours semaine... Après quelques mois de ce régime, elle retourne à l’horaire de 5 jours/semaine, ne sachant pas quoi faire de ses dix doigts durant ce jour de congé de plus qu’elle s’était octroyée (et qu’elle s’ennuyait énormément de « ses » petits).

Elle s’est occupée de ses jeunes de la garderie jusqu’au début de la pandémie, à plus de 74 ans. Quelques jours après sa mort, des familles des enfants qu’elle gardait ou qu’elle avait gardé se sont réunis dans un parc, où elle emmenait toujours les enfants pour jouer, pour lui dire au revoir.

À 72 ans, elle recommence à donner des cours d’activités physiques, de l’aquaforme, auprès d’un centre pour personnes âgées, plusieurs de ses « élèves » étant parfois près d’une décennie plus jeune qu’elle.

De son héritage irlandais, elle a conservé plusieurs choses mais notamment le goût de la fête; il n’était pas rare de l’entendre dire dans une fête de famille avec son frère et ses sœurs « I drink to this, I drink to that, I don’t know what i drink but i drink en « tabarnak » ».

Elle était une mère, une grand-mère et une amie exceptionnelle au grand cœur, toujours là pour les autres, drôle, aimante et attachante.

Elle laisse dans le deuil son conjoint André, ses enfants Steven (Claude Thomassin), Shawn (Corina Alias), Karlyne et Terry (François Béland), ses petits-enfants Charli, Elliot, Ashley, Morgane, Shawn, Édouard, Madeleine, Vivianne, Édouard, Eliott, Elsa et Terry; son frère et ses sœurs : Roger, Louise (Michel Lafleur), Suzanne (Jean-Guy Gauvin), Kathleen, et Eileen (Patrick Brisebois), ses beaux-frères, belles-sœurs; ainsi que plusieurs neveux, nièces, cousins, cousines et ami(e)s.

La famille désire témoigner sa reconnaissance au personnel des soins palliatifs de l’hôpital Sainte-Marie de Trois-Rivières pour les bons soins prodigués.

Des dons à la Société Canadienne du cancer seraient appréciés.

 

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