
Genest Bilodeau
À toi, mon beau Genest. Quatre ans déjà en ce 29 octobre que tu m’as quitté.
Si tu savais comme le temps est long sans toi. Tu me manques énormément. Jour et nuit, tu es toujours dans mes pensées. Le pire de tout ça c’est qu’un Zéro, un bon à rien s’est emparé de la majorité de mes biens en compagnie de celle qui demeure chez lui, et à chaque fois que je sortais faire mes commissions au magasin. Ce n’est pas vivable, ‘’je suis au rendu au bout du rouleau’’ comme on dit. On dit toujours qu’il y a la loi du retour. Un jour, Dieu verra car je dois me battre continuellement contre ces deux vautours qui contrôlent mes allées et venus depuis quatre ans.